Note : n'hesitez pas a cliquer sur les photos du post pour les agrandir et a regarder toutes nos photos en cliquant sur le diaporama (colonne de droite)
lundi 6 octobre 2008
Day 4 + 5 : San Diego
Accueil formidable de Jacqueline (tante de Sabine) et Jacques, qui nous offrent une belle ballade sur le port de San Diego (tres beaux bateaux) et une excellente pizza a Little Italy. Le lendemain, c'est Sea World, l'un des plus fameux centres aquatiques du monde. Sequence emotion pour moi, j'ai le grand bonheur d'enfiler une combinaison et de jouer avec des dauphins. Sensations geniales. Le dauphin degage une telle impression d'intelligence, de douceur et de puisssance ! Demain, nous reprenons (deja) la route pour une nouvelle destination et pas des moindres : Las Vegas !
Note : n'hesitez pas a cliquer sur les photos du post pour les agrandir et a regarder toutes nos photos en cliquant sur le diaporama (colonne de droite)
Note : n'hesitez pas a cliquer sur les photos du post pour les agrandir et a regarder toutes nos photos en cliquant sur le diaporama (colonne de droite)
dimanche 5 octobre 2008
Day 4 : (version longue)
Midi, et déjà l'heure de reprendre la route. Direction San Diego, ville ancienne , balnéaire et aussi base navale et aérienne, à deux heures au sud de Los Angeles. San Diego est une ville aux accents hispaniques très marqués, elle se trouve d'ailleurs à 30-40 km de Tijuana, au Mexique. Malheureusement pour Cédric, nous nous sommes trompés de direction en arrivant en ville. Mais par chance, pour moi, nous étions à deux pas d'un gigantesque mall (= centre commercial) le Horton Plaza. En plus, le parking est gratuit 3 heures, on ne pouvait pas louper ça ! Aux Etats-Unis, se garer est un véritable problème, il faut sans cesse payer, payer, payer, payer, parfois une fortune pour seulement 30 minutes. Alors 3 heures gratuites, vous imaginez !!! Je me suis donc offerte un parcours shopping du côté de chez Macy's, Nordstrom, Victoria's secret, Aldo, XX1 etc... Cédric, lui, priait. (pour que ça s'arrête !)
Nous reprenons la route pour rejoindre ma tante Jacqueline et Jacques son mari. Ils nous accueillent comme des rois, et nous emmènent en balade à travers Mission Bay, un port bourré de bateaux somptueux (du type gallion !) et downtown avec Little Italy, un quartier « je suis rital et je le reste » qui fleure bon l'âme italienne. Une bonne pizza, un chianti, des souvenirs partagés, la soirée est belle et chaleureuse. Allez, il est temps d'aller se coucher et de penser à demain : SEAWORLD, here we come !
Anecdote du jour : bon ben on change pas une équipe qui gagne. Après notre déconvenue dans le parking de Universal Studios, nous avons réitéré l'exploit dans le parking du Centre commercial, nous avons tourné, tourné, tourné, tourné... pendant au moins 30 minutes pour trouver l'entrée de notre niveau. The balls bis.
Nous reprenons la route pour rejoindre ma tante Jacqueline et Jacques son mari. Ils nous accueillent comme des rois, et nous emmènent en balade à travers Mission Bay, un port bourré de bateaux somptueux (du type gallion !) et downtown avec Little Italy, un quartier « je suis rital et je le reste » qui fleure bon l'âme italienne. Une bonne pizza, un chianti, des souvenirs partagés, la soirée est belle et chaleureuse. Allez, il est temps d'aller se coucher et de penser à demain : SEAWORLD, here we come !
Anecdote du jour : bon ben on change pas une équipe qui gagne. Après notre déconvenue dans le parking de Universal Studios, nous avons réitéré l'exploit dans le parking du Centre commercial, nous avons tourné, tourné, tourné, tourné... pendant au moins 30 minutes pour trouver l'entrée de notre niveau. The balls bis.
samedi 4 octobre 2008
Day 3 : (version longue)
Aujourd'hui, nous sommes samedi, et le samedi c'est jour de Getty ! Getty Center est LE musée à ne pas rater à LA. Voici en exclusivité quelques informations repiqués sur le routard : « Perché sur une colline à l'ouest de Los Angeles, ce musée constitue l'un des complexes les plus importants du monde. Son histoire commence en 1953 lorsque J. Paul Getty, magnat du pétrole, créa un petit musée d'art ». Petit à petit sa collection devient gigantesque et nécessite un endroit plus grand (la villa Getty située à Malibu est trop étroite). Les collections déménagent donc vers le Getty Center (son fondateur mourra avant de le voir construit). « A pied, on arrive sur une place futuriste au bas de la colline, d'où un tramway vous conduit au musée. » Etalé sur 87 000 m2 dans des jardins de 45 ha, le Getty Center est l'oeuvre de l'architecte Richard Meier. Le musée comprend 5 pavillons, un jardin, un centre de recherche. Les collections comprennent des peintures, sculptures, mobiliers du moyen-age au XXème siècle et essentiellement européenne.
Le Getty Center est un vrai concept, très ouvert sur le monde et ouvert à tout le monde (entrée gratuite !). La scénographie est riche, et enjoint le visiteur à observer les oeuvres d'un autre oeil.
En fin d'après-midi, nous nous voguons vers Venice Beach, temple de la hippie attitude. Autant le dire ici, je n'ai pas été séduite par ce coin : trop de bruit, pas assez « safe » à mon goût. En revanche, les couleurs des maisons, les fresques et graffitis sur les murs sont vraiment dépaysants. J'avoue quand même avoir adoré notre repas tardif au Sidewalk Café, un restaurant à l'ambiance de cantine de vacances.
Anecdote du jour : dans la soirée, nous voulions trouver un petit supermarché pour prendre deux trois choses (diet coke, et des muffins !). Je me disais qu'il y avait bien un market près de la maison de Nicolas. Avec Cédric nous avons marché... pendant plus de 2 heures !!!!!!! Nous avons même eu besoin du GPS pour retrouver notre rue !
Le Getty Center est un vrai concept, très ouvert sur le monde et ouvert à tout le monde (entrée gratuite !). La scénographie est riche, et enjoint le visiteur à observer les oeuvres d'un autre oeil.
En fin d'après-midi, nous nous voguons vers Venice Beach, temple de la hippie attitude. Autant le dire ici, je n'ai pas été séduite par ce coin : trop de bruit, pas assez « safe » à mon goût. En revanche, les couleurs des maisons, les fresques et graffitis sur les murs sont vraiment dépaysants. J'avoue quand même avoir adoré notre repas tardif au Sidewalk Café, un restaurant à l'ambiance de cantine de vacances.
Anecdote du jour : dans la soirée, nous voulions trouver un petit supermarché pour prendre deux trois choses (diet coke, et des muffins !). Je me disais qu'il y avait bien un market près de la maison de Nicolas. Avec Cédric nous avons marché... pendant plus de 2 heures !!!!!!! Nous avons même eu besoin du GPS pour retrouver notre rue !
Day 3 : getty ready
Today, meteo pas top. On en profite pour se faire un musee : le Getty. Tres sympa : cadre superbe et de belles choses a voir. Apres midi : visite du celebre quartier de Venice beach... Lieu et population hauts en couleur ! On a l'impression que tous les rescapes de Woodstock s'y sont echoues... Dommage que le soleil ne soit pas au rdv, mais nul doute qu'il nous accompagnera demain pour notre prochaine destination (so long L.A) : San Diego ! 
Note pour plus tard : les gens sont plutot adorables ici, et encore plus quand on leur dit qu'on est francais !
vendredi 3 octobre 2008
Day 2 (version longue)
Vendredi : Hollywood
Hollywood, c'est le passage obligé de Los Angeles, c'est comme la star academy avec Nikos, ou Karl Lagerfeld et son accent : ces deux-là sont indissociables. Hollywood c'est un long boulevard parsemés d'étoiles au sol : le « walk of fame ». Mais passé un certain périmètre, le plus touristique, la rue devient moins attrayante voire peu rassurante. Avec Cédric, nous arrivons donc sur Hollywood boulevard, direction le parking de Hollywood Highland, situé sous un gigantesque complexe commercial de 5 étages avec esplanade babylonienne et éléphants sculptés perchés en guise de colonnes. Côté boutiques, on y trouve, le plus chic avec Gucci, Coach, Vuitton... et beaucoup de shops dédiés à la beauté dont Origin's, Lush et MAC (d'où je ne suis pas repartie les mains vides). Halte au Koji pour un déj japonais. Ensuite, nous arpentons le boulevard dans tous les sens pour ne rien rater ! A gauche, à droite, à reculons, en avant, de dos, sur les mains... bref, on joue aux petites fourmis touristiques, nous sommes rigoureux, organisés, méthodiques! Ici, difficile de manquer le majestueux Chinese Theatre, et ses empreintes de stars. Difficile également de ne pas rentrer dans toutes les boutiques avoisinantes, et je ne parle évidemment pas des vendeurs d'oscars en plastique doré, ou des échoppes « I love LA ». Non, je vous parle de la vraie vie, de l'essence même du shopping, de H&M of course ! Au goûter, nous nous régalons d'un Smoothie Yogurt Low Fat et poursuivons notre quête shoppinguette. Et nous rentrons EPUISES (j'ai les mollets qui se contractent tout seuls sans même marcher !). Mais Nicolas mon cousin nous propose une petite virée nocturne dans sa Porsche décapotable. En 2 secondes top chrono, je passe d'une coiffure somme toute assez distinguée (spécial dédicace à la fan de Pamela Anderson) à tremblement de terre capillaire instantané. Nous nous arrêtons dans mon coin préféré à Santa Monica et mangeons un « gelato » (= glace) digestif. Et hop ! Ce qu'il me reste de cheveux se jette au lit et nous aussi !
Anecdote du jour : Un jeune black essaie de nous vendre des tickets pour faire un tour en bus des maisons de stars (on vous le propose tous les 3 mètres)... et en plaisantant un peu, ce garçon nous révèle être un fan de... Louis de Funès !!! Oui ma biche, tu as bien compris, Louis de Funès !!!
Hollywood, c'est le passage obligé de Los Angeles, c'est comme la star academy avec Nikos, ou Karl Lagerfeld et son accent : ces deux-là sont indissociables. Hollywood c'est un long boulevard parsemés d'étoiles au sol : le « walk of fame ». Mais passé un certain périmètre, le plus touristique, la rue devient moins attrayante voire peu rassurante. Avec Cédric, nous arrivons donc sur Hollywood boulevard, direction le parking de Hollywood Highland, situé sous un gigantesque complexe commercial de 5 étages avec esplanade babylonienne et éléphants sculptés perchés en guise de colonnes. Côté boutiques, on y trouve, le plus chic avec Gucci, Coach, Vuitton... et beaucoup de shops dédiés à la beauté dont Origin's, Lush et MAC (d'où je ne suis pas repartie les mains vides). Halte au Koji pour un déj japonais. Ensuite, nous arpentons le boulevard dans tous les sens pour ne rien rater ! A gauche, à droite, à reculons, en avant, de dos, sur les mains... bref, on joue aux petites fourmis touristiques, nous sommes rigoureux, organisés, méthodiques! Ici, difficile de manquer le majestueux Chinese Theatre, et ses empreintes de stars. Difficile également de ne pas rentrer dans toutes les boutiques avoisinantes, et je ne parle évidemment pas des vendeurs d'oscars en plastique doré, ou des échoppes « I love LA ». Non, je vous parle de la vraie vie, de l'essence même du shopping, de H&M of course ! Au goûter, nous nous régalons d'un Smoothie Yogurt Low Fat et poursuivons notre quête shoppinguette. Et nous rentrons EPUISES (j'ai les mollets qui se contractent tout seuls sans même marcher !). Mais Nicolas mon cousin nous propose une petite virée nocturne dans sa Porsche décapotable. En 2 secondes top chrono, je passe d'une coiffure somme toute assez distinguée (spécial dédicace à la fan de Pamela Anderson) à tremblement de terre capillaire instantané. Nous nous arrêtons dans mon coin préféré à Santa Monica et mangeons un « gelato » (= glace) digestif. Et hop ! Ce qu'il me reste de cheveux se jette au lit et nous aussi !
Anecdote du jour : Un jeune black essaie de nous vendre des tickets pour faire un tour en bus des maisons de stars (on vous le propose tous les 3 mètres)... et en plaisantant un peu, ce garçon nous révèle être un fan de... Louis de Funès !!! Oui ma biche, tu as bien compris, Louis de Funès !!!
Day 2 : "Everybody comes to Hollywoooood"
Longue promenade aujourd'hui sur Hollywood Blvd... Attention, quand on marche la tete en bas (pour regarder les noms inscrits dans les etoiles), on risque de faire du rentre-dedans a une Marylin, un Batman ou un Chucky (Sabine adooore Chucky "hiiiiiiiiii !" :). Pas mal de leche vitrines ("ouh il est trop mimi le petit sac cheri cheriii !") - qq boutiques sympas (j'ai craque sur des lunettes "vintage" bien funky) - un bon resto japonais pour reprendre des forces, l'impressionnant Chinese Theater aves les empreintes de pieds et de mains de Clint Eastwood, Dark Vador, Spielberg et bien d'autres... Coooool !
Soiree super sympa aussi : Nicolas nous enmene dans son cabriolet Porsche carrera 4 (la frime) pour une visite de la cote (Malibu, Santa Monica) by night, cheveux au vent, au son de Joshua Redman, Zero 7 et des fulgurantes accelerations de la belle allemande.
Soiree super sympa aussi : Nicolas nous enmene dans son cabriolet Porsche carrera 4 (la frime) pour une visite de la cote (Malibu, Santa Monica) by night, cheveux au vent, au son de Joshua Redman, Zero 7 et des fulgurantes accelerations de la belle allemande.
ps: hesitez pas a nous laisser des petits messages sur le blog, ca nous fait tjrs plaisir !)
jeudi 2 octobre 2008
Day 1 (version longue)
jeudi : Direction Universal Studios
Allez GPS, emmène-nous aux studios universal !!! Vite, vite ! Universal, c'est un disneyland mais version cinéma. De spectacles en attractions, de roller-coasters (montagnes russes) en shows grandeur nature ou 3D, Universal en met plein la vue et ravit tous les fans de ciné. D'ailleurs tout comme Eurodisney, Universal dispose, avant l'entrée avec pass, d'une sorte de « village » bourré de boutiques, d'écrans géants, de restaurants... Ambiance, ambiance !
Première attraction : Jurassic Park. Une espèce de balade en petit bateau au coeur de la jungle avec des dinosaures cachés dans les buissons. A la fin, notre embarcation plonge à vitesse grand V et effectue un grand plouf retentissant. J'ai eu plus que super peur (ça m'a même traumatisé pour le reste !). Et ça m'a donné faim, oui, un estomac effrayé doit se sustenter dans la minute. Après une pause hamburgesque, nous testons les différentes attractions et terminons cette journée par le « studio tour ». Le train du studio tour nous conduit sur des sets de tournage : CSI (les experts), Desperate Housewives, des films avec
John Wayne. On peut y voir des scènes incroyables comme celle du crash aérien pour le film « la guerre des mondes « de steven spielberg)...
Il est 18 heures, le parc ferme déjà ses portes (basse saison ?), et nous voilà repartis sur les freeways (=périphériques) pour retrouver mon cousin Nicolas qui nous accueille dans son appartement de Westwood, juste à côté de Wilshire boulevard et non loin de Beverly Hills. Les retrouvailles se fêtent dans un restaurant charmant, appelé... le soleil !
anecdote du jour : outre le fait que j'ai failli vomir à la fin du jurassic park tour, nous avons cédric et moi excellé en matière d'orientation dans le parking d'Universal Studios. Nous avons fait plusieurs fois le tour de notre niveau pour retrouver notre voiture, et que nous n'avons, en plus, pas reconnue tout de suite... the balls.
Allez GPS, emmène-nous aux studios universal !!! Vite, vite ! Universal, c'est un disneyland mais version cinéma. De spectacles en attractions, de roller-coasters (montagnes russes) en shows grandeur nature ou 3D, Universal en met plein la vue et ravit tous les fans de ciné. D'ailleurs tout comme Eurodisney, Universal dispose, avant l'entrée avec pass, d'une sorte de « village » bourré de boutiques, d'écrans géants, de restaurants... Ambiance, ambiance !
Première attraction : Jurassic Park. Une espèce de balade en petit bateau au coeur de la jungle avec des dinosaures cachés dans les buissons. A la fin, notre embarcation plonge à vitesse grand V et effectue un grand plouf retentissant. J'ai eu plus que super peur (ça m'a même traumatisé pour le reste !). Et ça m'a donné faim, oui, un estomac effrayé doit se sustenter dans la minute. Après une pause hamburgesque, nous testons les différentes attractions et terminons cette journée par le « studio tour ». Le train du studio tour nous conduit sur des sets de tournage : CSI (les experts), Desperate Housewives, des films avec
John Wayne. On peut y voir des scènes incroyables comme celle du crash aérien pour le film « la guerre des mondes « de steven spielberg)...
Il est 18 heures, le parc ferme déjà ses portes (basse saison ?), et nous voilà repartis sur les freeways (=périphériques) pour retrouver mon cousin Nicolas qui nous accueille dans son appartement de Westwood, juste à côté de Wilshire boulevard et non loin de Beverly Hills. Les retrouvailles se fêtent dans un restaurant charmant, appelé... le soleil !
anecdote du jour : outre le fait que j'ai failli vomir à la fin du jurassic park tour, nous avons cédric et moi excellé en matière d'orientation dans le parking d'Universal Studios. Nous avons fait plusieurs fois le tour de notre niveau pour retrouver notre voiture, et que nous n'avons, en plus, pas reconnue tout de suite... the balls.
Day 1 : Universal Studios
Mission 1 : affronter la freeway et la highway de L.A (periph parisien = route de campagne)! Merci TomTom, on a survecu. Ensuite, DE-TENTE totale aux Studios Universal ! Attractions bien chouettes : Jurassic Parc, Simpsons, Shrek 4D, tour des studios (CSI, Desperate HW...) etc. le tout sous l'oeil bienveillant (gni) des zombies annoncant Halloween dans qq jours... Nous traversons ensuite les beaux quartiers (Hollywood, Beverly Hills...) pour rejoindre le cousin Nicolas, qui nous accueille chaleureusement chez lui. Une belle journee, vivement demain !
mercredi 1 octobre 2008
Day 0
mercredi 1er octobre
Enfin la voilà la Cité des Anges. Cédric et moi sommes à la fois exténués, excités et effrayés à notre arrivée dans la ville qui ne dort jamais. A la sortie de l'aéroport, la chaleur est étouffante, on se croirait au mexique ou en tunisie. Nous retrouvons vite nos esprits de baroudeurs du dimanche et trouvons la navette « dollar », le loueur de voitures. Au volant de l'American Titine (une chevrolet), armés d'un GPS, nous nous lançons, non sans une légère appréhension (enfin quand je dis « nous », il faut comprendre que c'est Cédric qui conduit! Moi je me réserve pour plus tard hihihi) vers le motel 6 le plus proche. L'hotel est immense... ce qui explique pourquoi nous sommes passés devant plusieurs fois sans le trouver. Ah! ces français. L'hôtel est clean, le lit est supersize et le wifi déjà relié à mon mini-portable (bon quand je dis « mon ordi », comprendre celui de maman en fait, mais je digresse). Il est 20 heures passées, et nos estomacs, déjà américains, crient à l'unisson, «we are starving ! » (attention, interro d'anglais à notre retour sur le thème suivant : les estomacs bilingues ont-ils plus de pouvoir que les estomacs monolingue ?). Ah! ces estomacs américains. Bref, nous nous dirigeons alors à quelques mètres du motel 6 pour rejoindre un petit bloc de commerces hyper glauque mais cachant des trésors gastronomiques de type muffins, donuts, enchiladas, hamburgers, dr pepper etc. De retour à l'hôtel, les valises s'éparpillent dans les coins de la chambre. Et sous nos yeux aussi (les valises). c'est donc l'heure de se souhaiter bonne nuit, enfin « good night » (les anglophones comprendront).
anecdote du jour : maman (sabine) nous appelé... à 5 heures du matin, impatiente de tester notre téléphone portable américain :)
Enfin la voilà la Cité des Anges. Cédric et moi sommes à la fois exténués, excités et effrayés à notre arrivée dans la ville qui ne dort jamais. A la sortie de l'aéroport, la chaleur est étouffante, on se croirait au mexique ou en tunisie. Nous retrouvons vite nos esprits de baroudeurs du dimanche et trouvons la navette « dollar », le loueur de voitures. Au volant de l'American Titine (une chevrolet), armés d'un GPS, nous nous lançons, non sans une légère appréhension (enfin quand je dis « nous », il faut comprendre que c'est Cédric qui conduit! Moi je me réserve pour plus tard hihihi) vers le motel 6 le plus proche. L'hotel est immense... ce qui explique pourquoi nous sommes passés devant plusieurs fois sans le trouver. Ah! ces français. L'hôtel est clean, le lit est supersize et le wifi déjà relié à mon mini-portable (bon quand je dis « mon ordi », comprendre celui de maman en fait, mais je digresse). Il est 20 heures passées, et nos estomacs, déjà américains, crient à l'unisson, «we are starving ! » (attention, interro d'anglais à notre retour sur le thème suivant : les estomacs bilingues ont-ils plus de pouvoir que les estomacs monolingue ?). Ah! ces estomacs américains. Bref, nous nous dirigeons alors à quelques mètres du motel 6 pour rejoindre un petit bloc de commerces hyper glauque mais cachant des trésors gastronomiques de type muffins, donuts, enchiladas, hamburgers, dr pepper etc. De retour à l'hôtel, les valises s'éparpillent dans les coins de la chambre. Et sous nos yeux aussi (les valises). c'est donc l'heure de se souhaiter bonne nuit, enfin « good night » (les anglophones comprendront).
anecdote du jour : maman (sabine) nous appelé... à 5 heures du matin, impatiente de tester notre téléphone portable américain :)
2 frenchies à LA
Après des heures d'avion (+ de 14 heures), après des heures de contorsions fessières, après une bonne minute de stress sur la freeway de Century boulevard, nous voilà enfin à l'hôtel !!! Un petit détour au Mexican drive et hop au lit ! Nous avons peu de courage pour raconter nos premières aventures mais on se rattrapera soon-soon.
Flash spécial pour maman sabine: wifi ok ! mini-ordi ok ! on a acheté un cellphone américain, tu peux m'appeler au : 213 210 8086 (attention au decalage horaire, chez nous il est - 9 heures)
A très vite !
Flash spécial pour maman sabine: wifi ok ! mini-ordi ok ! on a acheté un cellphone américain, tu peux m'appeler au : 213 210 8086 (attention au decalage horaire, chez nous il est - 9 heures)
A très vite !
lundi 29 septembre 2008
dimanche 24 août 2008
La folle aventure des passeports !
"On n'est pas chez Vogue ici !" nous crie la cerbère au Guichet-des-Instructions-Cartes-d'identité-Passeports (ouf reprenez votre souffle). Qu'ouïs-je entendu dire Madame, qu'avons-nous fait pour mériter autant de mépris de votre part ? réponds-je de ma voix la plus fragile et tremblotante... "Vos photos ne sont pas congue-formes (avé l'accent c'est plus dramatique), 1/vos photos sont numériques, 2/ vous avez la bouche ouverte, 3/ vous êtes de 3/4. Les photos d'identité doivent être réalisées par un photomaton ou photographe CERTIFIE, c'est claaaaaaaaaaaaaair (or what) ?!!!" éructe la cerbère faussement bilingue.
Alors que nous pensons notre calvaire administratif terminé, QUE NENNI ! L'agent malfaisant ajoute "Eh pis, les timbres fiscaux c'est pour les autres pitêtre ?". Effectivement, la fois précédente (car oui lecteur, nous en sommes à notre troisième visite), la mairie nous avait exemptés de l'achat de timbres fiscaux puisque nos anciens passeports étaient valables jusqu'en 2010 dans tout l'univers sauf aux Etats-Unis (notre destination évidemment).
Cédric, courageux, racheta donc les timbres fiscaux, qu'il avait eu tant de mal à se faire rembourser 2 jours auparavant sur les bons conseils de l'agent administratif de notre visite numéro 2.
Une semaine plus tard, BINGO, la Mairie appelle ! Cédric, d'une part, pour lui notifier que son dossier comportait 2 timbres fiscaux. Moi, d'autre part, pour m'avertir... -pause devinette- ... qu'il manquait un timbre fiscal dans mon dossier ! Heureusement, le personnel de la Mairie, hautement qualifié ce jour-là, réussit l'exploit de rétablir l'équilibre numérique et fiscal entre nos deux dossiers.
Alors que nous pensons notre calvaire administratif terminé, QUE NENNI ! L'agent malfaisant ajoute "Eh pis, les timbres fiscaux c'est pour les autres pitêtre ?". Effectivement, la fois précédente (car oui lecteur, nous en sommes à notre troisième visite), la mairie nous avait exemptés de l'achat de timbres fiscaux puisque nos anciens passeports étaient valables jusqu'en 2010 dans tout l'univers sauf aux Etats-Unis (notre destination évidemment).
Cédric, courageux, racheta donc les timbres fiscaux, qu'il avait eu tant de mal à se faire rembourser 2 jours auparavant sur les bons conseils de l'agent administratif de notre visite numéro 2.
Une semaine plus tard, BINGO, la Mairie appelle ! Cédric, d'une part, pour lui notifier que son dossier comportait 2 timbres fiscaux. Moi, d'autre part, pour m'avertir... -pause devinette- ... qu'il manquait un timbre fiscal dans mon dossier ! Heureusement, le personnel de la Mairie, hautement qualifié ce jour-là, réussit l'exploit de rétablir l'équilibre numérique et fiscal entre nos deux dossiers.
mercredi 24 octobre 2007
Inscription à :
Articles (Atom)
